QOSMOS porte plainte contre la FIDH et la LDH pour dénonciation calomnieuse
Paris, 03 septembre 2012
Le 25 juillet 2012, la Fédération Internationale de Droits de l’Homme et la Ligue des Droits de l’Homme déposaient à grands renforts de publicité une dénonciation à l’encontre de la société QOSMOS.
Malgré de nombreuses demandes, ces deux organisations ont refusé de communiquer à la société QOSMOS le document qu’elles avaient envoyé au parquet.
Cette attitude est contraire aux dispositions de la Convention Internationale des Droits de l’Homme (article 6-3 (a)). La FIDH et la LDH ont toujours milité pour que chaque personne accusée, quelle que soit l’étape procédurale, puisse connaître avec précision les termes de la plainte ou de la dénonciation dirigées contre elle.
Seul le conseil de la FIDH a communiqué dans les médias pour expliquer que son client accusait QOSMOS d’avoir directement fourni à la Syrie des logiciels permettant l’interception des messages électroniques des opposants au régime en place.
La société QOSMOS a depuis fort longtemps (communiqué du 22 novembre, communiqué du 8 décembre) indiqué que ces allégations étaient fausses et mensongères. C’est pourquoi elle a décidé de porter plainte contre la FIDH et la LDH du chef de dénonciation calomnieuse.
Qosmos étant soucieuse de respecter concrètement les dispositions de la Convention Européenne des Droits de l’Homme, cette plainte pour dénonciation calomnieuse est communiquée aux conseils de la FIDH et de la LDH ainsi qu’à leurs présidents.
Par cette plainte pour dénonciation calomnieuse, QOSMOS souhaite faire reconnaître le caractère inacceptable des accusations portées contre elle.