Communiqué de Qosmos concernant l’enquête préliminaire
Paris, France – le 14 août 2012
Qosmos n’a jamais eu de relation avec le gouvernement syrien. Le métier de Qosmos n’est pas de vendre des systèmes de surveillance. Nous fournissons une brique technologique utilisée dans des applications très diverses dans les domaines de la cyber sécurité et des télécommunications, depuis les pare-feux réseaux jusqu’à la facturation de services en ligne. Notre société vend à des entreprises (équipementiers réseaux, éditeurs de logiciels, intégrateurs) qui intègrent nos composants à leurs propres applications et en assurent la commercialisation. C’est ce qui s’est passé dans le cas du projet en Syrie. Qosmos avait comme client un sous-traitant allemand d’une société italienne, cette dernière ayant travaillé pour l’opérateur de télécommunications syrien.
Le projet n’a jamais été opérationnel. La décision de Qosmos – en 2011 – de se retirer du projet bien avant son achèvement a rendu impossible son fonctionnement.
Qosmos coopère entièrement avec les autorités françaises dans leurs investigations.
Comme indiqué dans ses communiqués (22 novembre 2011, 8 décembre 2011), Qosmos est favorable au renforcement de la réglementation concernant les systèmes de surveillance.